Balades nouvelles saisons
Les saisons vont rondes et rondeaux
Sonnets pour les discrets
Et comme il va d’eux
Et l’écorce inscrit les blessures
Les balafres les écritures
Elles se signent sur les peaux
Apprises dans les étés chauds
Les hivers remuent les saisons
Quand les pluies coulent dans les yeux
Des feuillages des floraisons
Les ordures et les pleins feux
Quand les sources se désaltèrent
Beaucoup trop loin dessous la terre
Des oiseaux viennent se cacher
Espérant l’ombre les baisers
Des branches fortes des houppiers
L’œil ne cille pas car épier
C’est tout une affaire métier
Où la destiné n’a pas pied
Georges Brassens - Le grand chêne
Le grand chêne Paroles et Musique : Georges Brassens Album : Supplique pour être enterré à la plage de Sète (1966) Il vivait en dehors des chemins forestiers Ce n'était nullement un arbre de ...
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