Ah toutes lueurs
Sur le satin des soirs de spleen / Les sourdines laissent sourdrent les saveurs rares des chagrins en calaminés / Liqueurs et poisons / Les oiseaux des mémoires remuent les organes du temps / Les strates se meuvent en cycles improbables / Soubresauts et reptations se conjuguent au hasard des vicissitudes variant sur des électricités indomptées / Des chevelures se libèrent des exuvies semées au long des ornières parcourues des yeux et des jambes sur les textes enchevêtrés traces et témoins et vestiges et augures d’ ulcères et cancers et bobos et crevasses et anévrismes et déchirures et plaies qui peuplent & érodent & plient les paysages endogènes nourris des énergies impitoyables de la matière et du temps / De temps en temps la beauté s’invite et trouble la surface / Les éléments se mentent / mentent par excès ou indifférence / Laissant à penser des impossibles moments /
et on retrouve Paul Personne avec une traduction de Blues
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