18 octobre 2020
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Vingt et unième page
Nuages fragiles qui poussent dans le vent
Des soupirs et des vers aux souffles enivrants
Ils viennent des reliefs voilés par le présent
Avec dans les ossements des scintillements
Avec dans les ailes des regards frémissants
De verbes et de teintes aux rythmes puissants
Ossatures mélodies songes sous-jacents
Qui peuvent émerger dans un seul bruissement
La misère y fleurit et sème à tous les vents
Des paysages brouillés par des contre-champs
Hérissés de bêtes aux poils durs et aux dents
Acérées couteaux affutés sur les saillants
Brefs éclats rires énervants cris désarmants
Des utopies qu’on détruit au bord des écrans
Image : Pascal /txt et chx musical : tg
Sedna 21/10/2020 10:57
pjtg 22/10/2020 10:49
Topa 20/10/2020 21:56
pjtg 21/10/2020 10:50
ZAZA 20/10/2020 13:11
pjtg 21/10/2020 10:55
Minik do 20/10/2020 06:39
pjtg 20/10/2020 10:35
tilk 20/10/2020 02:13
pjtg 20/10/2020 10:34