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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 00:01

Mi fugue mi rêve son

 

Ténèbres d’eux / Chien de mer

La nuit des errances se greffe des enfances

Des fœtus aux yeux de démons aux ailes liées

Des oiseaux qui ne dansent que sur les panses

Des planètes déroulées entre les plis dés

 

Roulés par des doigts expérimentés alliés

Aux chanteurs de psaumes rafistolés le soir

Juste avant le spectre acte de dévotions niées

Par les lecteurs des augures mus par les arts 

 

Les paysages se lisent des épopées

Que des ombres tissent de fils et de cadavres

Semés par Arthur au fils des astres livrés

Sur mesure entre césure monstres et havres

Image : pj / txt : tg

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commentaires

P
Image et poème : superbes !
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P
merci, ça encourage à continuer, braver la fatigue et l'àquabon @ +
Z
Le spleen a repris le dessus, un espace bien tourmenté à tous points de vue. Bises
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P
on dit spleen en lisant Baudelaire, ou bourdon, ou ... blues : c'est ce que les noirs américains nous ont légué, le blues existe au fond de chacun plus ou moins apparent en fonction des moments, le laisser s'exprimer pour ne pas qu'il étouffe. @ +
M
Espace tourmenté .......mais aussi du rêve ....de l'imaginaire
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P
la mer génère des tempêtes et des moments de calme, on se laisse porter sur la vague : je pense au bateau ivre, @ +
T
La porte s'ouvre sur un ciel plombé de brumes malmenées par un vent qui ne sait ce qu'il veut à part exister. L'être perdu dans cette obscurité le veut lui aussi, mais fera t il le poids ? Certainement pas. Alors autant avancer humble et simplmenet un pas après l'autre.
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P
devant les forces qui nous dépassent, on attend et on voit, romantisme de bon aloi et lucidité, il est des beautés cachées dans des espaces tourmentés. @ +

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